Arrivée au zénith.

Popo se baladait en regardant les étables, dans la ville de Chrysta alors que la grande bataille pourait commencer a tout moment. L'haphelin se promenait dans le marché. Elle remarqua un humain ramasser les quelques pieces par terre entourées des habitants de la ville. Puis ce dernier se releva et partit en direction des étalages des forgerons. Popo acheta quelques rares légumes qui augmentait de jours en jours depuis cette guerre, donna ses pieces au vendeur qui l'avait prit pour un enfant, en voyant sa taille. Et se dirigea alors vers l'humain. Elle ramassa d'autres pieces par terre et les donna alors a l'inconnu
- vous avez perdu cela
celui ci montrait en lui une inquietude, peur que celle ci soit une garde du royaume. Popo en regardant sa crainte s'excusa et referma sa main avec les pieces a l'interieur en souriant

Andriel regarda l'halfeline qui tendait gentiment les pièces. Il avait bien cru être choppé par les gardes. Remarque, cela n'aurait pas été la première fois que cela lui arrivait et il n'avait plus vraiment de remords à leur brûler les yeux. Des générations d'aveugles se disait-il parfois, lorsque l'humour noir le prenait. Avec un léger sourire, il prit les pièces et les rangea dans sa bourse. Puis il dit simplement:

- Merci ... Je suis nouveau dans cette ville. Cela n'aurait pas été très judicieux de ... euh .. comment dire ... Trouver un logis sans argent !

Il éclata d'un léger rire, puis tendit trois pièces d'argent à l'halfeline. La fixant droit dans les yeux il déclara:

- Pour vous remercier mademoiselle ... ?

- Pour vous remercier mademoiselle ... ?
- non merci, j'en ai pas besoin... gardez les, pour que vous puissiez vous logez a Chrystia et de vous payez de bon repas
En disant ces paroles, elle pouvait s'empecher d'emmettre un sourire sur son visage.
Quelques gardes sortirent de la rue allant au chateau de Chrysta et entra alors sur la place du marché, examinant chaque personne. L'halpheline, les regardait puis se retournait pour regarder l'humain qui avait un regard de haine

[ HRP: Evite de faire jouer mon personnage s'il te plaît ^^]

Andriel regarda les gardes qui s'avançaient vers la place du marché. L'un d'entre eux lui semblait famillier, un type de forte carrure avec un tant soit peu d'embonpoint. Mais le casque à la visière abaissée qu'il portait ne l'aidait pas pour réellement le reconnaître.

- Wow ... Quelle descente font-il là ?

C'est alors que le garde releva sa visière ... UNe partie de son visage était brûlé par les flammes. Andriel ne put éviter que leurs regards se croisent, c'était un ancien ennemi qui avait perdu un pari. Déjà les gardes couraient à sa rencontre

- Chère halfeline, à moins d'avoir des affinités avec les gardes ... Je vous suggèrerais de faire comme moi. C'est à dire vous barrer !

Sur ces mots, il se fléchit sur ses jambes et percuta un étalage avec son baton, le coinçant dans les chevilles de bois qui le faisait tenir debout. D'un geste sec, il démonta les chevilles et les pastèques de l'étalage firent route vers les gardes. Andriel en profita pour partir en sens inverse. Direction l'autre bout de la place !

Kaitô etait a la recherche d'un endroit ou elle et sa soeur auraient pu se mettre pour un representation. Et oui ces deux jeunes filles avait commencé par Elen mais depuis qu'elles avaient été a Elen Kaitô avait une vie plus que geniale. Elle regarda a gauche et a droite mais il n'y avait pas de place. Elle fut surprise par quelqu'un car comme elle regardait ces pieds par tristesse elle percuta un homme et elle tomba a la renverse sur les fesses.

- Aïe !!! Vous pouvez pas faire attention quand vous marchez !!

Elle essaia de se relevé mais elle retomba aussi vite par terre car elle s'était tordue une fois de plus la cheville.

- C'est malin ma vielle comment tu va faire maintenant pour danser !!

Elle regarda l'homme comme si ces yeux disaient " S'il vous plait vous pouvez pas m'aider ??".

Andriel avait exécuté une glissade sous une charette et s'était rétabli dans la jambe d'une jeune fille. Avec un grognement il se roula en boule et se rétablit sur les genoux. Tout en se relevant, il regarda derrière lui. Les gardes le rattrapaient a grande vitesse, il devait se dépêcher. Ramassant son baton près de la jeune fille, il croisa son regard.
Avec un léger soupir, il dit:

- Désolé .. mais c'est vous aider et mourir tous les deux ou ...

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'un garde pointait sa nuque avec sa lance.

- Ou mourir tout seul Andriel ... Tu es très intelligent parfois.

C'était le garde brûlé par Andriel, voilà cinq ans, un sourire sadique aux lèvres. Les autres gardes semblaient retourner errer dans le marché. Un aubaine pensa Andriel, qui se leva doucement sous l'impulsion de la lance.

- Drevak ... Ca fait plaisir depuis le temps ... Je vois que ca a bien cicatrisé, j'en suis très heureux tu sais ! Franchement je sais pas ce que t'en penses, mais depuis le temps ... J'ai ... J'ai beaucoup réfléchi vois-tu et j'en suis venu à conclure que c'était peut être.

Andriel marqua une pause, pour affermir la prise de ses mains sur son bâton ... Ildevrait faire attention à la fille à terre. Mais c'était sa seule chance de sortie puis il reprit, scrutant le regard de son adversaire, qui semblait aux anges.

- Peut être pas si grave ?

Dit-il avec un grand sourire, le garde retira légèrement sa lance pour crier sur le sorcier. L'ouverture qu'Andriel attendait, d'un rapide moulinet de son baton, il brisa la hampe de l'arme de son adversaire, un deuxième moulinet dans l'entrejambe du garde fit de le mettre hors course. Avec un léger sourire, Andriel prit le bras de la jeune fille et lui demanda:

- Capable de courir ?

Pour Kaitô tout c'était passé tres vite elle avait vu un homme brulé parlé avec l'homme qui l'avait fait tombé et maintenant il lui demandait si elle pouvait courire. Elle ferait comme elle peux mais avec la vilaine entorse elle le relentirait plus qu'autre chose, mais bien dessidé elle lui repondit:

- Je ferait de mon mieu mais j'ai bien peur de vous ralentir plus qu'autre chose !!

Elle le regarda dans les yeux puis elle tourna la tete vers l'homme brulé.

Andriel maugréa et l'aida à se relever doucement. Tout en gardant l'homme qui voulait sa mort reprendre son souffle doucement, il dit à la jeune fille:

- Accrochez-vous à mon dos. Nous irons plus vite.

D'un moulinet retors de son bâton, il frappa le garde dans le menton puis dans la tempe, histoire de le laisser inconscient. Il n'avait jamais eu d'autre envie que d'être tranquille et ne tuait que quand c'était obligatoire. Mais il avait des armes qu'il utilisait lorsque il le fallait, ce qui pouvait être très souvent. Tournant la tête vers la jeune fille, il lui demanda:

- Connaissez-vous la ville ?

La jeune elfe s'accrocha au dos de l'homme et l'homme se retourna et lui demanda :

- Connaissez-vous la ville ?

- Je la connais mais tres peux , a par le chateau, le marché, quartier militaire ce qui n'est pas bon du tout pour vous et le cimetière et le port ou il y a l'auberge le poete guerrier ou sinon un peux pus loin il y a l'auberge de Chrystal je ne voie vraiment pas ou allé.

La jeune elfe se cramponnais a lui pour ne pas rechuté.

Andriel hocha la tête, la fille était légère, il pourrait tenir un certain temps. De toute façon il n'avait guère le choix, il devait mettre de la distance entre lui et les gardes, sans pour autant avoir à quitter la ville. Un léger regard sur le coté lui fit distinguer une ruelle sombre qui devraient les mener vers le grand jardin. Dans les arbres, Andriel serait plus à son aise. D'une voix neutre et calme, il dit:

- Appréciez-vous la compagnie des arbres jeune fille ?

Sans attendre sa réponse, il avança dans la ruelle. Tenant le bâton dans sa main droite, il ouvrit sa paume gauche et prépara son feu de sorcier ... au cas ou. Il ne le laissait pas voir, mais la lune taillée dans sa paume luisait faiblement alors qu'il avançait.

La jeune elfe intrigué par sa paume gauche la regardait mais elle fini par repondre a la question de l'homme.

- Je suis une elfe et les elfes adorent la foret ont ne pourraient jamais faire de mal a des arbres ou des animaux. Vous avez desoin d'aide je peux etre utile chuis sorciere moi aussi !?

Dans la ruelle sombre Kaitô n'était pas vraiment rassuré surtout avec un homme qu'elle ne connaisait pas.

- Vous voulez que je vous tienne votre baton ?

- Vous êtes sorcière ? Parfait ... préparez votre feu mais ne le laissez pas être visible. Comme ca si l'on nous surprend, l'impudent sera ... embêté.

Dit-il en regardant derrière lui. Il n'avait pas remarqué qu'il portait une elfe sur son dos ... Remarque, ce n'est pas le fait qu'il lui ait démonté la cheville qui l'aurait aidé a se rendre compte. Puis il l'avait vu quasiment tout le temps de dos. D'un vois plus amicale, alors qu'il marchait il dit:

- Je me nomme Andriel. Et vous ?

Au loin il apercevait déjà les cimes de arbres du parc, un léger sourire sur les lèvres, il maintenait cependant sa vigilance.

Les arbres commençaient a percé leurs cimes. Elle se concentra elle ne dit rien pendant un petit moment et d'un seul coup ces yeux devinrent sombre et d'une belle voie elle prononca en elfique:

- Blirrasss

Elle avait bien inssissté sur la dierniere lettre tout d'un coup sa mains devint toute de flamme. Sans avoir prevenu Andriel il se reçut quelques étincelles qui s'éteingnairent tout de suite.

- Escusez moi j'aurais du vous prevenir !
Eh bien pour repondre a votre question je m'appelle Kaitô mais on me surnome Kai c'est plus rapide a dire.

Andriel dévia de sa trajectoire sous les étincelles. Avec un léger grognement, il stabilisa de nouveau Kaîto sur son dos puis avança d'un meilleur pas. Sa voix ferme et courtoise se répercuta dans la ruelle alors qu'il demanda:

- Eh bien Kaîto, voudriez-vous bien être un tant soit peu plus discrète avec votre feu de sorcier ? Remarquez, il nous apporte au moins un peu plus de lumière.

Assez pour voir la crasse de la ruelle ou le bout de l'infâme corridor, manifestement la ruelle n'était pas réellement un coupe gorge, ce dont Andriel ne put que se féliciter.

- Nous allons nous installer sous les arbres si vous le voulez bien. Je vais vous poser une attelle et vous pourrez marcher après.

Ecoutant l'homme lui parlait elle regardait la ruelle plus craseuse que jamais.

- Escusez ma sautise j'aurais du vous prevenir!
Du moment que je pisse re-danser l'attellle ne sera pas de luxe je vous remercie.

Pour se rassurer elle regarda deriere elle pour voir s'il n'y avait personne qui les suivaient.

- Très bien.

Répondit simplement l'homme alors qu'ils arrivaient au bout de la ruelle. Devant eux se dressait le parc du chateau. Peu gardé et laissant passer de nombreuses personnes. Au vu de la végétation, Andriel se dit qu'il habiterait bien ici, mais qu'il était presque certain que le roi verrait d'un mauvais oeil qu'il y construise une cabane.

- Allons donc nous reposer.

Dit-il, en frachissant les grilles du chateau pour rentrer dans les jardins.

*les jardins du chateau*

( HJ: on se retrouve au parc du chateau c'est bien ca ???)