A l'ombre d'un grand chataîgner

Andriel commençait à faiblir quelque peu sous le poids de Kaîto, dans un dernier effort pour la soutenir, il la posa sur une énorme racine émergeant de terre, sous un chataîgner. Avec un soupir de soulagement, il s'assit sur une autre racine et regarda alentours. C'était très calme, un coin assez reculé où les gens n'étaient pas habitués.

- Bien ... Nous y voilà.

Dit-il, avec un léger ton de victoire. Il venait encore d'échapper aux gardes mais cette fois cela n'avait pas été loin du tout ! IL lui semblait même se souvenir avoir senti l'odeur des geôles. Enfin bref, le problème n'était plus là.

Quand l'homme la posa sur une racine d'un beau chateigné, elle grimaça quelque peu, la jeune elfe était danseuse et aussi tres fragile des chevilles elle se souvient meme que le jour ou elle est sa soeur avaient fait une representation, elle était tombé garcieusement en faisant croire aux personnes presente que se n'était juste une figure mais une vrais danseuse aurait vu que se n'avait été qu'une chute.

- Eh bien se parque et tres ... comment dire jolie, D'apres les dires de personnes le parque du chateau d'Elen n'est remplis que de roses blanche et de peu d'arbres.

Elle regarda le parque et ces arbres plus grands les uns que les autres comme s'ils faisaient un concourt de celui qui toucherait le ciel en premier.

- Elen, c'est un autre décor. Pour ce que j'en pense, il est mieux que nous soyons ici qu'en prison.

Dit-il, en se relevant pour ramasser quelques branches tombées des arbres environnants pour confectionner l'attelle. Il revint bientôt et cassa quelques peu les branches, cherchant les plus droits possibles. D'une voix douce, il reprit:

- Vous devrez vous contenter de marcher et seulement avec de l'aide durant deux ou trois jours. Sincèrement, ce n'est peut être pas bien beau d'avoir une entorse mais vous avez échappé au pire. J'aurais pu vous casser la jambe.

Un léger ton de regret brisa l'harmonie de sa voix alors qu'il tendait les mains vers la jambe de Kaîto.

- Faites voir.

Kaitô lui tendit sa cheville et fit une grimace. En le regardant elle decida de lui parlé:

- Pourquoi vous fuiez les soldats du roi ?

Elle regarda le chateau et ces tours plus hautes les unes que les autres mais aussi plus belle. La jeune fille fit encore une belle grimace .