"L'achat du sabre"

Wellow avançat, dèrierre lui, les gens se retournait, pour voir ce jeune homme hors du commun. Certaint avait un rire narquois, d'autre un regard de reproche, mais Wellow savait bien que ce n'est pas le regard d'autrui qui lui poserait le plus d'ennui, mais plutôt de trouver la lame dont il aurait besoin. Il s'avançat près d'un étalage tenu par un vieil homme japonais. L'homme s'écriat :

- Ouste Manant ! Ne t'approche pas de mon étal ! tu fais fuir les clients !

Wellow pris ça comme un compliment, et repliquat :

- Moi de même je suis ravi de vous rencontrer, cher étranger ...

L'homme japonais eût une sorte de moue, puis il retorquat, en criant assez fort pourque la foule qui était autour l'entendant bien clairement :

- JE N'ACCEPTE QUE LES GENS QUI ONT DE L'ARGENT POUR ACHETER LES BELLES ARMES DU PAYS DU SOLEIL LEVANT !! PAS LES MANANTS !! ALORS FICHE LE CAMPS !!

Wellow ne se laissat pas marcher sur les pieds, ce n'était pas son style de baisser les yeux et de s'en aller :

- Ahahahahah ! Mon cher ami, je ne suis pas un simple vagabond, je possède de l'argent pour m'acheter une arme !

Wellow ouvrit délicatement sa bourse puis devant les yeux de tout le monde, la retournat. Les cents pièces tombèrent dans clinquement infernal sur l'étal du vendeur japonais.
Wellow saisit alors une arme, un magnifique sabre à manche en peau de crocodile, suivant ce que disait le japonais. Il le rangeât dans le fourreau de son ancien sabre puis s'enfuit.
Soudain le japonais remarquat quelquechose Il s'écriat :

- Il manque une pièce de bronze !!!

Wellow pensat :

* Les armes sont peut-être magnifique au pays du soleil levant, mais en tout cas les marchants sont un peu avare non mais ! m'envoyer les gardes aux trousses pour un pièce de bronze*

Wellow laissat tomber volontairement une pièce de bronze dans le chapeau frippé d'un mendiant en pensant :

*Je prèfère que cette pièce aille a ce mendiant plutot qu'a ce vieux sorcier*

Wellow se remit à marcher et passat les portes de la ville, la grande et magnifique ville se dressait dèrriere lui, il avait arrêté de vagabondé mais ne savait plus trop où aller.