Le bureau

Dans une grande pièce ou se ttrouve des meubles en bois fin,une bliothèque garnit des livres, se tenait derrière un bureau en chêne. Le bureau était rempli de cartes, de papiers, de livres, de babioles. L'homme était occupé à écrire une lettre à la Reine d"Elen.

"Chère reine d'Elen. Cette guerre nous déchire, Pourquoi nous battre? Chrysta et Elen ne sont-elles pas née de la même mère? Tout ce sang pour un conflit qui remonte il y a longtemps...."

C'était mauvais. Il prit la feuille, en fint un boulle et la jeta dans la poubelle. Il prit un secon parchemin. Il retrampa sa plume dans l'encirer.

"Ma chère, vous savez où si bien autant que cette guerre est futile. Nous nous faisaont mutellement du tort? Personnellement je vois pourquoi nouys contunrion cette guerre. Chaque jour nous habitant vivent dans la crainte de voir leur ville se faire détruire. Chaque jour, la guerre draine nous ressources et apauvrisent notre économie. Au bout du terme, nous nous retrouverons pauvre. Cette guerre nous détruira. Car ni l'un , ni l'autre peuvent l"emporte.

Donc ma chère, je voius enjoint à faire cesser cettre guerre. Enterron la hache de guerrre une bonne fois pour toute! Redevenons amis comme nous l'étions avant! Le monde est assez grand pour Chrysta et Elen. La paix sera plus profitable. Imaginez un peu les possiblité! Je suis sur que nous aurions à nos échanger nos produits.

Pour la divison, cette question est réglabe. Nous avons qu'à tracé une ligne qui sépra le royaume en deux.

C'est en profond amitié que j'écris ces mots. Je désire fortement la paix. Je vous parvenir ce magnifique collier de perle rouge pour témoigner de ma sympathie.

Amicalement, Lucion,le roi de chrysta et qui espère est votre aillié et non votre ennemi."

Bon enfin un lettre avec de l'allure. Il signa son nom et mit son seau. Il roulla le parchemin. Puis il appella d'aller cherhcer son meilleur diplomate. Lucion espérait fortement en termié ave cette maudite guerre. Pendant qu'il conquérait les terres du sud de l'autre coté de la mer, il voulait pas grand Elen.En plus, il avait d'autres solutquon que la guerre d'en réglé avec Elen, le maraige par exemple. La reine reignait seule. Et bien Lucion n'avait qu'à trouver un parent qui pourrait taper dans l'oeil de la reine. Dailleurs, Lucion avait un candidat potentielle,

Guild toqua à la porte du bureau de son roi, jetant un regard simpathiqye au jeune elfe qui était à ses côté. Il s'était présenter comme étant Eharial, et la ressemblance avec le petit Dorian avait poussé le chevalier à lui en parler.

Et il n'avait pas été surprit quand il avait répondu qu'il était le frére du petit.

Guild ouvrit la porte et la referma derrière l'elfe, n'attendant pas la réponse du roi, comme d'habitude.

-Sir, ce jeune elfe demande à vous voir. Il s'appelle Eharial Trius et prêtant être le frére de Dorian.

Eharial souria gentillement au chevalier. Il s'en souvenait trés bien... Il se tourna vers le roi et mit un genou à terre. Il devait bien ça à Rionnard....
Quand il se releva, il croisa les bras, attendant que le roi demande à ce qu'on le chasse de là.

Ainsi donc Eharial était le frère de Dorian. Sa ressemblance avec lui devait venire de là.

"Faites le entrer."

Il toisa le chevalier du regard. Il avait disparut si vite. Était-ce un magicien. Cer serait un atou d'avoir un chevalier-magicien à son service, surtout s'il pouvait enseigner son art aux chevalier où apprendre à se battre au magiciens. Tient un ordre de guerrier-magicien, comme ce serais utile militairement.

Lucion regarda le chevalier dans les yeux.

"Alors vous voulez me servir? Sachez que je ne tolère pas les crises de fanatisme religieux comme l'autre fois. Si cette elfe avait été un représentant d'une nation étrangères on aurait de graves problèmes. Je n'ai contre votre foi, mais ne l'imposer pas aux autres."

Eharial s'approcha et posa ses mains sur le bureau.

-Sir, je ne suis pas un fanatique, et encore moins religieux.

Il fronça les sourcis. Le roi était têtu, ou il croyait en ses idéaux.

-Je refuse d'appartenir à qui que ce soit, mais mon épée va à Chrysta sans le moindre doute. Je ne suis pas revenu pour vous faire la leçon.

Guil salua le roi et recula jusqu'à la porte, attendant la fin de l'entretien pour raccompagner le guerrier à la sortie.

-Je viens vous mettre une dernière fois en garde. Méfiez-vous de Lawilha, elle vous ménera à votre perte.

Il se redressa et fixa le roi, se tenant bien droit, son regard reflettant son âme de guerrier et de voyageur.

-Je n'ai aucune preuve de ce que j'avance. Croyez-moi et je vous apporterai mon soutien pour la vaincre.

Il recula d'un pas.

-Ou ne me croyez pas, et je disparait de votre vie.

Eharial tomba à genoux et se mit à pleurer. Il s'était toujours battu pour être libre, il s'était toujours crû libre... Il avait aimé, et tout ce qu'il aimait il le mettait en danger, à force de jouer avec le temps et le monde, il les mettait en danger.

*Papa?*

L'elfe posa la main sur son coeur, ne pouvant plus, se sentant incapable de garder les appels de son fils à l'écart de ses pensées. Il avait essayé, il aurait voulu. Il aurait dû être plus fort que ça et arriver à le protéger, lui au moins. Même pas.

*Papa!*

*L'darian... chut, tais-toi...*

*Papa! Tu es là! Je t'aime papa! Quand c'est que tu reviens, tu me manques...*

Une image nette apparut à sa mémoire, les yeux verts riaient de tristesse alors que le guerrier essayant d'échapper à ce souvenir. La clé d'or lui chauffa la peau, le brpulait, et il aurait voulu la jeter au loin, n'importe où, loin de lui.

*Papa, tu as si mal... qu'est ce qui se passe?*

Eharial appuya ses mains sur ses genoux.

*Rien rien. Va-t'en L'darian...*

Aucune réponse ne vint, mais il savait que son fils était toujours en transe, lié à son esprit. L'darian était trop curieux....

"Allez vous bien?"

Le roi se leva. Qu'avez-il. Il le menaçait? Il semblait posséde ou fou. Lucion ne voulait d'un fou dans ses rangs. Bon il devait aviser. Il alla appela un serviteur. Il lui de conduire Dorian en lui sur. Puis il dit à son chef des garde de garder un sur le chevalier, qu'au moindre faut pas, il fallait le suveriller de près. Le vent ouvrit la fenête. Il mumurait.

"Lucion....Lucion....."

Il cligna des yeux, il avait cur entendre une fou. Il alla refermé la fenêtre,mais qu'il se retourna le vent rouvrit la fenêtre.

"Lucion."

Ce vent n'avait rien de naturel.

"Qui que vous soyez sachez que je ne crains pas les magiciens....."

"Je ne suis pas les magiciens où plutôt je ne suis le suis plus."

Un fantôme. Le spiritimse, c'était la seule au quelle coryait Lucion. Un jour, il avait rencontré un chaman des steppes qui lui fait parler avec ses ancêtres. De puis lors, Lucion était convaincu que les esprit était présent. Il honorait personnellement un culte à ses ancpetres. Su'bo le parlefrenier, étaoit enfaite le chaman personnelle du roi.

"Que veux-tu esprit. Qu'ai-je fait pour provoquer ton tourment."

"Je ne suis ici pas parceque tu as du tor, je suis parceque j'en ai fait."

"Quoi?"

"Oublie ça, c'est...un longue, très longue histoire. Tout ce que je peux dire c'est que je suis la pour te protéger."

Eharial aussi riait (happy end! ), et en même temps il pleurait sans même s'en rendre compte. l'darian, c'était bien la seule chose qu'elle ne pouvait pas atteindre. Mais le roi, il devait protéger le roi de lui-même. Il attrappa son épée et la jeta de toute ses forces par la fenêtre, brisant le verre. Que l'ange déchue la récupére, lui il n'en voulait plus. Il leva les yeux ur le roi.

-Sir, tuez moi, car moi aussi je suis devenu un danger. Je vous supplit de me tuer.

Guild avait bondit qand l'elfe avait approché, il lui tordit le poignée en arrière et le força à se mettre à terre.

L'darian quitta l'esprit de son père et disparut sans laisser de trace.

Lucuon commençait à croire qu'un esprit s'était emparé du jeune homme. Très, son chaman était la pour ça.

"Aller cherchez Su'bo, tout de suite."

Des gardes mirent des chaines magiques sur les bras sur le jeune elfe. Si il bougeait, il receverait deux cents vingt volt dans le corps. Le vent souffla de plus en plus.

"Laisse-moi m'en occuper, Lucion, ton chaman ne peut rien contre lui. Moi seul eut faire quelquechose."

"Très bien, comme tu veux, esprit."

Quelque chose entra dans la copr d'Ehrial. Quelque chose de puissant, de très puissant. Ce n'était un simple esprit. L'entité s'adressa à Ehrarail.

*Je peux te débarasser de ce magicien mais tu dois me laisser fairee. Abaise ta garde, sinon tu aura ma, très mall."

Le corps de l'elf s'illumina, l'entité commençait son travail.

Les paroles de Lawilha, la vraie Lawilha, raisonnait encore en lui. Un instant il se laissa faire par la chose, puis le sourire de Braise et son regard lui apparurent, plus lumineux que jamais.

-Non!

Il s'écarta, brissant le lien que l'être avait forgé pour travailler.

-Non, c'est impossible Lucion. Ecoute, tout ça doit te paraitre fou, comme à moi, mais tu vas devoir me croire.

Il déglutit rapidement.

-Nous luttons tous contre une entité inconnu, Lawilha, Braise, moi, tous. Méfiez-vous d'elle sir.

Il laissa ensuite Guild lui lier les mains dans le dos.

-Votre Altesse, permettez-moi de chasser cet impudent.

"Cette enfant est pas comme les autres."

Guild rattacha les poignets de Dorian. Une voix du tonerre gronda. Le vent se mit à gronder.

"Seul moi puiss-je chassez cette fantôme de pactotille, il n'as pas même le quart de ma puissance et le dixième de mon age! Laissez moi faire, je vais le chasser de ce plan. Mais ça pendra votre copération.

"Très bien, faites votre travail."

Il se toruna vers Guild.

"Éloignez cette jeune femme d'ici."

"Mais vous, sire."

"C'est un ordre."

Le chevalier s'éxécuta. Lucion se mit en indiem en entra en médiation. Il offrit sa force mentale à l'entité qui était venu le voire. Il se fuisonna avec elle. Il fit son travailla. L'enntité deracinai l'esprit du magicien mort de l'âme de l'elfe. Il détachait aussi Braise de Lawilha. Ce travail était ardu, mais l'entité ne se décourageait pas. Dorian et Lawilha lévitèrent et se mirent à tournoyer.

"SORT DE CE CORPS ESPRIT! TOUT TEMPS EST FINI!!RETOURNE AU ROYAUME DES MORTS OÙ L'ENFER TE PARAITRA MEILLEUR AUX SORT QUE JE TE RÉSERVE, LES TOUTS PUISSANT M'ON CONFÉRER LE POUVOIR DE TE BANNIR PARS! PARS! ÂME DANMÉES! SORT DE CE CORPS ESPRIT! TOUT TEMPS EST FINI!!RETOURNE AU ROYAUME DES MORTS OÙ L'ENFER TE PARAITRA MEILLEUR AUX SORT QUE JE TE RÉSERVE, LES TOUTS PUISSANT M'ON CONFÉRER LE POUVOIR DE TE BANNIR PARS! PARS! ÂME DANMÉES! SORT DE CE CORPS ESPRIT! TOUT TEMPS EST FINI!!RETOURNE AU ROYAUME DES MORTS OÙ L'ENFER TE PARAITRA MEILLEUR AUX SORT QUE JE TE RÉSERVE, LES TOUTS PUISSANT M'ON CONFÉRER LE POUVOIR DE TE BANNIR PARS! PARS! ÂME DANMÉES! "

Plus l'entité parlais, les coprs des deux elfes s'illuminaient.
*LAISSEZ VOUS SI VOUS VOULE RESTEZ EN VIE. CETTE OPÉRATION EST DANGEREUX SI VOUS RÉSITEZ."
"SORT DE CROPS.

L'entité jura.

"Il a filler,le pleutre, j'aurais pû le banir sinon! Si n'est pas au royaume des morts, au moins surun autre plan astral."

Lucion se sentait faibel, de part qu'il avait donné son énerige à l'entié et aussi à cause poison. L'entité s'occupa de cela. Elle entra dans le corps de Lucion et enleva le poison du corps du roi. Puis elle fit sortir Jacen de sa cachette par un bourasque. Lucion appella sa garde.

"Arrêtez cette homme et faites la parler, je veux savoir qui en veux à ma vie!'

-Très bien, mon seigneur.

Ils prirent Jacen et l'emenèrent aux cachots.

Dorian souria trés hypocritement au roi et le salua profondément, un peu trop.

-Vénérable sir, grand Lucion de Chrysta, je tire ma révérence. Le jour où tu verras que j'avais raison au sujet de cette ange, je rirais bien de ta confusion!

Il éclata guaiùent de rire, des fossettes se creuséres dans le creux de ses joues. Il serra la clé dans sa main, et disparut.

*Au revoir Lucion. Ne me crois pas pour elle, mais rend moi service, un service... méfis-toi de tout, des choses arrivent.*

Extrêmement sérieux, les mots avaient raisonné dans l'esprit du roi, avec un éco, une autre voix, la voix de Rionnard. Le visage du vieux maitre apparut vaguement devant celui de Lucion, un sourire encourageant aux lèvres.

*Je crois en toi Lucion.*